“AL PRINCIPIO COLECCIONABA TODO LO QUE CAIA EN MIS MANOS”
Entrevista a  Juan Francisco Muñoz , más conocido en Internet como JF, coleccionista de placas y escudos policiales.

Aunque el no quiera reconocerlo, es patente de que está en todas partes y todo el mundo le conoce. Este policía local salmantino, hace unos quince años que comenzó su andadura coleccionista. Hoy en día cuenta con unas 400 placas metálicas y alrededor de 650 escudos.
Insignia: ¿Cómo comenzaste?
Juan Francisco Muñoz: Empecé por casualidad, después de un curso en Valladolid y en el que nos cambiamos algunos escudos como recuerdo. Los puse en mi habitación clavados con un alfiler en la pared, hasta que un vecino que los vio me dijo “¿por qué no te dedicas a coleccionar? Yo puedo conseguirte el de Ceuta, que mi hermano es policía local allí” Y me lo trajo. Entonces me pregunté si sería muy difícil conseguir  los de otros países. Así que probé. Cogí un atlas y miré en Estados Unidos, la capital de Alaska (Juneau) y escribí. Mi sorpresa fue que me lo enviaron, así que animé y envié carta a Salamanca, pero de Méjico, y días después lo tenía en mi casa.
I: Pero me estas hablando de escudos y tu especialidad ahora son las placas...
JF. Si, porque justamente después conseguí a través de IPA en Israel mi primera placa metálica. Al principio coleccionaba todo lo que caía en mis manos, y pronto me di cuenta de que así no llegaría a ninguna parte. Así que tenía que planificar lo que quería coleccionar. Me marqué varios objetivos.
Primero, Placas de Pecho de Policía Española, al principio sólo capitales de provincia (tenía que limitar mi  colección), que por cierto la he completado el pasado mes de Julio con la placa de Girona, gracias a un amigo de Coruña. Segundo, los distintivos de brazo de las policías locales de las capitales de Estados Unidos, que he tardado tres años. Luego, las placas metálicas de los estados y territorios de Australia. He tardado siete años en conseguir las siete placas.
I: Y en estos momentos, ¿cuáles son tus objetivos?
JF: Después de disponer de más de mil piezas entre escudos y placas, me di cuenta que de España tenía muy pocos escudos de brazo, por lo que ahora estoy en ello y, por cierto, me faltan bastantes.
I: ¿Cuáles son tus piezas preferidas?
JF: Como conjunto de placas, las que más me gustan son las de Australia, por su dificultad en conseguirlas y, por supuesto, las de España. También las de la Policía Judiciaria de Portugal. Pero una de las placas que más me gustan  es la de Indonesia, que además fue un regalo de un colega de aquella zona que se dedica a los escudos del Ejército. Como yo tenía unos cuantos se los envié y el, conociendo de mi interés, por la placa me la buscó, a pesar de ser muy difícil de conseguir, y después de varios meses me la envió.
I: ¿Cómo has establecido tus contactos?
JF: Al principio todos los contactos los hacía por medio de conocidos, pero era complicado y costoso. Después con el invento de Internet todo resultó mucho más fácil. Actualmente estoy suscrito a 15 listas de coleccionistas y el correo que recibo es de cerca de 60 mails al día.
I: Háblanos de tu página.
JF: Cuando empecé con Internet, lo primero fue hacer la página que tengo actualmente (http://www.fortunecity.com/marine/pier/962). El tenerla me sirve para dos cosas: para dar a conocer mi colección y para tener clasificada mis piezas
I: Por último, consejos a los nuevos coleccionistas.
JF: El consejo que yo daría a los que comienzan es que planifiquen su colección y, sobre todo, que nunca fallen en sus intercambios, ya que es un mundillo en el que todo el mundo se conoce. Durante los años que llevo en esto jamás he tenido ningún problema con ningún coleccionista. En Internet hay un montón de listas que los americanos llaman “bad traders”, de gente que quiere aprovecharse.
El mundo del coleccionismo me ha ofrecido también grandes amistades en España y otros países, como José Carlos de Vitoria, Pedro de Bilbao, Santiago y Pedro de Coruña o Eugene de Okala (USA), y otros muchos con los que de vez en cuando echo una charla en Internet.

AU PRINCIPE JE COLECCTIONAIS TOUS CE QUI PASSÉ DANS MES MAINS
Interview de Juan Francisco Muñoz , plus connu à Internet comme JF, collectionneur de plaques et escudos policières.

Bien que le ne veut reconnaître, il est évident qu'il est dans toutes les parties et le monde entier lui connaît. Cette police locale salmantino, il y a environ quinze ans qu'a commencé collectionneur. Aujourd'hui compte environ 400 plaques métalliques et environ 650 escudos.
Insignes: comment vous?
Juan Francisco Muñoz : J'ai commencé par hasard, après un cours à Valladolid et à l'que nous nous transformons certains escudos en souvenir. Les je l'ai sur ma chambre cloués avec un épingle dans la paroi, jusqu'à ce qu'un voisin les été m'a dit pourquoi ne pas te nécessité à choisir? Je trouve le de Ceuta, que mon frère est police locale là, qui me l'a amené. Alors m' j'ai demandé s'il serait très difficile d'obtenir d'autres pays. Ainsi que conditions du test. Respecter un atlas et ai aux États-Unis, la capitale de l'Alaska (Juneau) et j'ai écrit. Ma surprise a été que m'a adressées, ainsi que ai encouragé et dépêché Lettre à Salamanque, mais du Mexique, et jours après ce avait dans ma maison.
I: mais je ces parlant de boucliers et tu spécialité maintenant sont les plaques...
JF. Si, parce que justement après j'ai pu par l'intermédiaire de IPA en Israël ma première plaque métallique. Le principe coleccionaba tout ce qui entrait dans mes mains, et bientôt m'di compte que ainsi ne parviendrait pas à aucune partie. Ainsi qu'il devait planifier ce que je voulais choisir. Je j'plusieurs objectifs.
Premièrement, plaques de Poitrine de police espagnole, au principe seulement capitales de province (devait limiter mon collection), qui a certes la j'ai complété le mois de juillet avec la plaque de Gérone, grâce à un ami de Coruña. Deuxièmement, les distinctifs de bras des policiers locaux dans les capitales des États-Unis, que j'ai fallu trois ans. Ensuite, les plaques métalliques des États et territoires d'Australie. J'ai tardé sept années à obtenir des sept plaques.
I : et en ces moments, quelles sont vos objectifs?
JF: après de disposer de plus de 1 000 pièces entre escudos et plaques, m'di compte que de l'Espagne avait très peu boucliers de bras, en ce qui maintenant je suis et, par un certain, m'manquantes assez.
I : quelles sont vos pièces préférées?
JF : comme l'ensemble des plaques, celles qui m'aime sont celles de l'Australie, par sa difficulté à procurer et, bien entendu, celles de l'Espagne. Aussi les de la police participation du Portugal. Mais l'une des plaques qui me plaît est celle de l'Indonésie, qui a également été un cadeau d'un collègue de cette zone qui se consacre à des boucliers l'armée. Comme j'avais quelques ont dépêché et le, connaissant de mon intérêt, par la plaque me l'a recherché, en dépit d'être très difficile à atteindre, et, après plusieurs mois, je me l'a envoyé.
I : Comment has établi vos contacts?
JF: au principe tous les contacts les faisait par connus, mais était complexe et coûteux. Après à l'invention Internet tout a été beaucoup plus facile. Je suis souscrit à 15 listes des collectionneurs et au courrier réception est de près de 60 emails par jour.
I : nous de votre page.
JF : Quand j'ai commencé à Internet ce premier a été de faire la page que j'ai actuellement (http://www.fortunecity.com/marine/pier/962). Le tenir m'sert à deux choses : pour faire connaître mon collection et pour avoir classifiées mes pièces I
: enfin, des conseils aux nouveaux collectionneurs.
JF : le Conseil que j'donnerait aux qui commencent est de planifier sa collection et, surtout, que jamais statuent dans leurs échanges, car c'est un milieux où tout le monde se connaît. Au cours des années que je suis dans cela je n'ai jamais eu aucun problème avec aucun collectionneur. Sur l'Internet il existe un tas de listes que les Américains appellent bad traders , de gens qui veut saisir.
Le monde du collection m'a également offert grands amitiés en Espagne et d'autres pays, comme José Carlos de Vitoria, Pedro de Bilbao, Santiago et de Pedro de Coruña ou Eugene de Okala (USA), et de nombreux autres que de temps à autre echo une discussion sur l'Internet.
AT THE BEGINNING COLLECTED EVERYTHING IN MY HANDS
Interview with Juan Francisco Muñoz , better known in the Internet as JF, collector plates and shields police.

Although not to acknowledge, it is clear that is everywhere and all over the world know you. This local police salamanca, 15 years ago that began life collector. Today it has around 400 metal plates and about 650 escudos.
Insignia: How began?
Juan Francisco Munoz: I started by chance, after a course in Valladolid and which we changed some shields as a souvenir. The i in my room nailed with a pin in the wall, until a neighbor who saw told me why not you spend to collect? I can get the Ceuta, that my brother is local police there and i got. Then i wondered whether it would be very difficult to achieve the other countries. So i tried. Picked an atlas and i looked in the United States, the capital of Alaska (Juneau) and wrote. My surprise was that i sent him, so animé and sent letter to Salamanca, but in Mexico, and days after it had in my house.
I: But i these speaking of badges and your specialty now are the plates...
JF. If, because after i got through IPA in Israel my first metal plate. At the beginning collected everything that fell into my hands, and soon i realized that it does not reach any party. So i had to planning what he wanted collecting. I am i several objectives.
First, Plates of Chest of Spanish Police, initially provincial capitals (had to limit my collection), which i have completed the last July with the plate of Girona, thanks to a friend of La Coruna. Second, the marks of arm of the local police officers of the capitals of the United States, which i have taken three years. Then, the metal plates of states and territories of Australia. I have taken seven years to get the seven plates.
I: AND at the moment, what are your goals?
JF: After more than a thousand pieces between badges and plates, i realized that Spain had very few shields of arm, so I am now in it, and, indeed, i lack enough.
I: What are your preferred parts?
JF: As a set of plates, the more i like are those of Australia, for its difficulty in achive and, of course, of Spain. Also of the Judicial Police in Portugal. But one of the plates that more i like is that of Indonesia, which also was a gift from a colleague from that area that is dedicated to the shields of the Army. As i had a few are sent and the, knowing my interest, by the plate i sought, in spite of be very difficult to obtain, and after several months, i sent.
I: How did you set your contacts?
JF: The principle all contacts made by means of known, but was complicated and expensive. After the invention of Internet was much easier. Now i am subscribed to 15 lists of collectors and mail to receipt is about 60 mails a day.
I: Tell us about your page.
JF: When I started with the Internet, the first was to make the page that i have now (http://www.fortunecity.com/marine/pier/962). The take serves me for two things: to publicize my collection and to have classified my pieces I
: Finally, tips to the new collectors.
JF: The council that i would give that begin is to plan its collection and, above all, that never fail in its trade, because it is a scene in which all over the world is known. During the years in this i have never had any problem with any collector. On the Internet there are a lot of lists that the Americans call bad traders , of people who want exploited.
The world of collectibles i has also offered great friendships in Spain and other countries, as Jose Carlos de Vitoria, Pedro de Bilbao, Santiago and Pedro de Coruna or Eugene of Okala (USA), and many others with which from time to time echo a talk on the Internet.
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